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Première section
Les antaïades > section 6
Nature du tshi
Le tshi est un souffle impalpable lié à la vie. Seul un être vivant peut le sentir et le canaliser. Comment le tshi est-il généré dans le noyaux des planètes ? Jusqu’ici personne n’a pu apporter de réponse autre qu’ésotérique: nous n’avons pas progressé sur ce point plus que les premiers mystiques. Nous savons tout au plus qu’il est présent en grande concentration dans les plus basses couches des planètes. Il monte ensuite jusqu’à la surface au moyen de cheminées naturelles qui émergent en des points répartis irrégulièrement sur la planète. A partir de ces puits d’énergie le tshi circule jusqu’à tous les êtres vivants et en particulier les humains.
De même que l’homme possède un réseau sanguin avec des veines un cœur il possède un réseau énergétique de canaux (appelés méridiens) qui s’entrecroisent et aboutissentaux points vitaux, souvent en relation avec un organe biologique.
De façon consciente l’homme peut diriger le tshi a travers son corps en vue d’obtenir des effets divers. Généra-lement, il cherche par ce moyen à retrouver la santé en rétablissant une circulation fluide du souffle. Cette circulation peut être perturbée par la maladie.
Comment vivre 200 ans heureux ? Voici le point de vue du professeur Oratz, spécialiste en gérontologie.
" Cette question peut se décomposer en trois questions : comment vivre 200 ans, commentvivre heureux et comment rester heureux 200 ans. Je peut apporter une réponse objective à la première de ces interrogations. Dans un premier temps, grace aux efforts de recherche dans de nombreux domaines, en particulier le vaste champ de la biologie (génétique, tshi, biochimie) et celui de la chimie, l’homme a pu comprendre le fonctionnement intime du mécanisme de vieillissement. Que la mémoire de ces chercheurs soit honorée à travers les siècles.
Cette compréhension a permis de déduire certains principes qui permettent de prolonger grandement la durée de vie. Il a été surprenant pour la plupart des scientifiques de constater que ces principes tiennent avant tout à l’hygiène de vie et à l’alimentation. De nombreux biologistes s’attendaient surtout à une sorte de traitement génétique fort complexe mais ils ont été déçu : en effet, les manipulation génétiques n’aboutissent qu’à des réactions de rejets à plus ou moins long terme et les effets secondaires rendent la vie insupportable.
Le secret de la longévité tient en premier lieu à l’alimentation. Nous sommes ce que nous mangeons. Il est aujourd’hui clair que seul une alimentation à base de végétaux permet de garder un corps sain. Il faut savoir que tous les peuples mangent ou ont mangé de la viande à une époque (à l’exception notable des anthomnites). Cette nourriture avait l’avantage de concentrer une grande quantité d’éléments d’une grande valeur nutritive. Cependant elle contient aussi de nombreux éléments qui polluent le corps et perturbent son fonctionnement. De plus, la viande est souvent difficile à conserver et il faut la consommer en une seule fois, ce qui rend la digestion difficile. C’est pourquoi nous nous nourissont principalement de céréales et étalons nos repas tout au long de la journée.
Le second élément qui nous permet de prolonger notre durée de vie est la régénération permanente de notre corps grace à l’énergie subtile appelée le tshi. Celui-ci fait tellement partie de notre vie que souvent nous oublions souvent de quoi il s’agit, en dehors de ce flux revigorant dont nous nous régalons quotidiennement. Il est important de savoir qu’il est issu du cœur des planètes et pourvoit au bon fonctionnement de notre corps. Or les plantes ont la capacité de retenir cette énergie et sont des réservoirs à partir desquels nous pouvons nous ressourcer. C’est pour cela que nous réalisons tous nos exercices ou notre méditation quotidienne entourés de verdure. C’est bien sûr plus facile dans un environnement rural. En ville ou dans l’espace cela impose de construire et d’entretenir de très nombreuses serres.
Le troisième élément est une technologie médicale poussée et une connaissance parfaite de la biologie qui permet de faire face aux blessures les plus graves et aux maladies les plus pernicieuses. Les accidents et la maladie étaient par le passé une cause non négligeable de mortalité. Enfin,je n’apprendrai rien à personne en rappelant que le manque d’’exercice physique est une source de mortalité précoce de même que l’absence d’efforts mentaux conduit très tôt à la sénilité.
Voilà ce que je peut dire pour répondre à la première question. La seconde, comme la troisième, me paraît plus subjective, cependant si je me Réfère à mes connaissances en psychologie ainsi qu’à mon expérience personnelle je pense que le bonheur tient d’abord à une enfance heureuse au sein d’une famille équilibrée pourvue d’un système de valeurs solide. Avec de telles base, il devient possible d’affronter sereinement les aléa de la vie. Celui qui n’a pas eu cette chance peut trouver la paix et l’équilibre dans les certitudes qu’apportent la connaissance. "
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