Espace Artémis

Connexion :

Nom d'utilisateur :

Mot de passe :

Pas de connexion ?

Une fois enregistré, vous bénéficierez des fonctionnalités suivantes :

- suivi des pages lues et vues
- à chaque page lue, vous augmentez vos points d'expérience et votre niveau
- peu à peu vous aurez accès à l'intégralié du texte
- accès à la création de personnage

L'enregistrement prend moins d'une minute.

Pour connaitre toutes les fonctionnalités cliquez ici.

Pour vous enregistrer, cliquez ici.

La confédération > Histoire > Surfer dans les étoiles > section 1

 

© Espace artémis / Yoz

Surfer dans les étoiles > section 1

 

Surfer dans les étoiles

Les antaïades furent le premier peuple de la galaxie à découvrir un moyen rapide de traverser l’espace interstellaire. Ils utilisèrent une force naturelle appelée vague de distorsion. Ces vagues naissent régulièrement à la périphérie des étoiles et traversent l’espace à une vitesse infinie pour finir absorbées par une autre étoile. Une vitesse infinie cela signifie qu’une vague de distorsion arrive à l’instant où elle part.

Pour "prendre la vague", les antaïades ont inventé une machine : la voile interstellaire qui permet à un vaisseau spatial de "s’accrocher" au tissu même de l’espace. Mais pour réussir ce tour de force sans disloquer le vaisseau, il faut déjà atteindre une très grande vitesse. A l’origine, les vols habités étaient impossibles car un humain ne pouvait résister aux terribles accélérations nécessaires pour prendre une vague de distorsion . Les antaïades firent cependant des tests sur des engins automatiques. Après plusieurs tentatives infructueuses, certaines sondes revinrent saines et sauves, avec des images venant de mondes lointains.

Un jour, une sonde leur apprit qu’un système stellaire proche était parcouru par des vaisseaux interplanétaires étrangers. Le premier vent de panique passé, on envoya d’autres sondes porteuses de messages de paix, de films incitant à déposer dans la sonde des objets de la civilisation lointaine. Une communication s’établit avec le système que l’on nomme aujourd’hui Adrek.

 

 

 


 

© Les textes et les images sont la propriété de leurs auteurs !